Document 2 : L’essor des pâtes et papiers

Document 2 : L’essor des pâtes et papiers

L’essor des pâtes et papiers

« À partir de 1910, une part sans cesse croissante de la consommation américaine de papier doit donc être importée. Du Canada principalement. [...] On peut dire que la loi de 1910, qui interdit d’exporter du bois à pâte, entraîne une modification décisive des conditions du marché du papier, qui soudain devient plus ouvert et propice à l’industrialisation du Québec. Le secteur des pâtes et papiers y connaîtra durant la décennie qui s’ouvre une véritable envolée, un âge d’or. [...]

Les capitaux de l'industrie mauricienne du papier seront apportés par les milieux financiers du Canada, d’Europe (de Belgique et de Grande-Bretagne, principalement) et des États-Unis; la technologie, elle, viendra d’abord d’Europe et des États-Unis, où I’industrie moderne du papier a pris son essor. »

Selon le graphique ci-dessus, quel pays investit dans le plus grand nombre de papetières au Québec?

Source de l'image :

« Implantation et regroupement des activités papetières en Mauricie (1887-1929) », dans R. Hardy et N. Séguin, Histoire de la Mauricie, Sainte-Foy, Les Presses de l’Université Laval, 2004, p. 547. Réalisation du graphique : Service national du RÉCIT, domaine de l'univers. Licence: Creative Commons (BY-NC-SA).

Source du texte :

R. Hardy et N. Séguin, Histoire de la Mauricie, Sainte-Foy, Les Presses de l’Université Laval, 2004, p. 540-542.

Ce document fait partie du dossier : Deuxième phase d'industrialisation

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